Les activités du 2ème colloque international sur la diplomatie de la puissance douce à travers les regroupements internationaux ont été lancées aujourd’hui, mercredi 13 décembre 2023, à l’amphithéâtre Hugo Chavez de la Faculté des sciences politiques et des relations internationales et organisées par le laboratoire de recherche en stratégie sur la politique étrangère et son environnement géopolitique, en présence d’un grand nombre de professeurs et d’étudiants. Les activités du colloque ont débuté par la lecture de versets du Saint Coran et un moment de recueillement à la mémoire des martyrs de Gaza, suivis de l’écoute de l’hymne national.
Dans son discours de bienvenue, le directeur du laboratoire, le professeur Amar Mesbah, a souligné l’importance du colloque, de ses panels et ateliers, ainsi que des objectifs visés par son organisation. Il a considéré que le thème du forum vient accompagner les développements que connaît la scène internationale.
De son côté, le recteur de l’université, le professeur Khaled Rouaski, dans son discours d’ouverture lu en son nom par le conseiller médiatique de l’université, docteur Lazhar Marouk, a déclaré que le monde vit des transformations rapides et que les nouveaux regroupements internationaux sont devenus des acteurs internationaux influents sur les politiques et décisions internationales. Ces regroupements utilisent désormais la diplomatie de la puissance douce comme outil pour réaliser leurs intérêts et renforcer leur position.
Le recteur a ajouté que l’Algérie possède tous les atouts de la puissance pour établir un partenariat gagnant-gagnant avec les nouveaux regroupements internationaux, de manière à servir ses intérêts et à renforcer sa position régionale et internationale. Il s’est félicité du dynamisme scientifique que connaît l’université ces derniers temps pour suivre les ambitions qu’elle cherche à réaliser en promouvant la recherche scientifique, en améliorant son classement aux niveaux national et international, et en appliquant la stratégie de réforme globale du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Kamel Beddari.
De son côté, le doyen de la Faculté des sciences politiques et des relations internationales, le professeur Slimane Aradj, s’est félicité des développements importants que connaît l’université, qui servent et promeuvent la recherche scientifique.
Il est à noter que la première journée du colloque a connu des activités intensives de sessions, d’ateliers et de communications d’universités nationales et internationales, une organisation rigoureuse et une forte participation de professeurs et d’étudiants.